Ubisoft ouvre la boîte à baffes, le physique en petite forme

L'actu de la semaine du 27 octobre

Le jeu Call of Duty Black Ops 6
Voilà ce qui se passe quand on oublie de rendre la VHS à temps.

Entre la garderie, les courses, les bourdes du gouvernement Barnier et cette connerie de passage à l’heure d’hiver qui vous fiche le moral dans les chaussettes, vous n’avez peut-être pas eu le temps de vous intéresser à l'actu jeu vidéo du moment. Qu’à cela ne tienne, votre infolettre préférée est là pour vous résumer tout ce qu'il y avait à retenir, du côté des news comme des sorties.

On vide le backlog

— Mickaël

La vidéo de la semaine : et pourquoi pas Windows 95 dans une 3DS

C'est vrai ça, et pourquoi pas ? Et surtout… pourquoi ? En tout cas, c'est possible comme le montre le bidouilleur MetraByte : il est passé par DOSBox dispo sur la petite console de Nintendo, pour y installer Windows 95. Alors on peut le faire, mais est-ce réellement souhaitable ?

Passé l'assistant de configuration de l'OS, on ne peut quasiment rien faire avec Windows 95 sur la 3DS. La console a même du mal à afficher le bureau de l'OS, mais en même temps elle n'a pas été conçue pour ça. Lancer MS Paint demande une patience d'ange, et la réactivité de l'interface est évidemment aux fraises.

MetraByte pousse le vice jusqu'à installer le logiciel de musique Ableton pour tenter d'en faire quelque chose sur l'appareil. Une vision difficile à soutenir.

La grosse info de la semaine : le physique sur une voie de garage, le démat' en force

On peut le déplorer, on peut pleurer de rage, on peut maudire les dieux, on peut aussi rouler par terre en frappant le sol de ses petits poings vengeurs mais rien n'y fait : les bonnes vieilles galettes, c'est de plus en plus du passé. Dans leur très grande majorité, les joueurs achètent leurs jeux en version dématérialisée !

© Martin Katler (Unsplash)

Aux États-Unis, entre janvier et le mois d'août, Mat Piscatella de Circana a calculé que 53 % des jeux Switch avaient été achetés sur l'eShop (c'est 1 point de plus que l'année précédente sur la même période). La différence est encore plus marquée sur la PS5, où 78 % des jeux achetés l'ont été en ligne (+3 points), et sur les Xbox Series S/X où les jeux physiques ont quasiment disparu — 91 % d'entre eux sont dématérialisés.

En Europe, la situation est similaire, avec des variations. Depuis le début de l'année, les jeux vendus en ligne représentent 68 % du volume total pour la PS5, 81 % pour la Xbox Series S/X et 35 % pour la Switch, selon les chiffres de GSD relayés par Christopher Dring. 

Avant de tirer des conclusions, il faut garder en tête les différences entre les deux instituts : côté européen, GSD prend en compte les ventes de jeux AA et AAA y compris ceux qui ne sont vendus qu'en démat'. Néanmoins, les données proviennent des grands éditeurs, comme Microsoft, Sony, EA ou encore Sega. Les ventes des petits éditeurs ne sont pas intégrées, même s'ils peuvent peser très lourd. Black Myth WukongPalworld ou encore Baldur's Gate 3 sont ainsi exclus du lot malgré les cartons atomiques de ces jeux.

Côté américain, Mat Piscatella explique que ses stats ne représentent pas la « vraie » demande : les revendeurs gèrent les stocks au plus près des commandes, les achats en volume sont donc beaucoup moins importants. Et les éditeurs poussent énormément pour vendre du démat' (coucou le Game Pass)… tout comme les constructeurs de consoles (coucou le Game Pass, bis) !

Si Sony a fait beaucoup parler avec la PS5 Slim et son lecteur de disque optionnel, puis avec la PS5 Pro vendue à prix d'or mais toujours sans lecteur Blu-Ray, le mouvement a été initié par Microsoft avec la Series S, ce qui explique au passage pourquoi le ratio des ventes penche autant vers le numérique au détriment des supports physiques. La Series S a longtemps été plus populaire que la Series X.

Et justement, la Series X a rejoint le troupeau, avec la nouvelle version blanche, sans lecteur externe à acheter à côté. Il va falloir se faire à l'idée que les futures Xbox et PlayStation soient tout aussi dépourvues de lecteur optique. Une bascule qui a été opérée il y a des années sur les PC.

Malgré les précautions prises par les deux analystes, le mouvement est très clair : les supports physiques sont sur une voie de garage, délaissés par les acheteurs, peut-être à leur corps défendant d'ailleurs. Certains voudraient sûrement acheter des galettes, mais en l'absence d'offre disponible, ils se tournent vers les boutiques en ligne. Ce mouvement de plaque tectonique va assécher le marché de l'occasion pour ces deux consoles. Et la problématique de la préservation du jeu vidéo, déjà inquiétante, ne va pas aller en s'arrangeant.

Reste la position de la Switch, où les jeux physiques sont toujours bon pied bon œil, en particulier en Europe. L'eShop est une horreur aussi bien en termes de fonctionnalités que de catalogue (on se croirait sur l'App Store d'Apple, c'est dire), on n'y va que vraiment contraint et obligé ! Et puis les capacités de stockage des consoles hybrides, de 32 à 64 Go, n'aident pas à emmagasiner les jeux dématérialisés même si le port SD se montre bien pratique.

La Switch 2 devrait conserver son port cartouche, ce qui leur permettra de subsister pendant de longues années. Mais Nintendo ne sera plus guère que le seul constructeur de toute l'industrie du jeu vidéo, consoles et PC compris, à prendre en charge des supports physiques.

La promo de la semaine : l'édition collector d'Assassin's Creed Shadows baisse de prix

Assassin's Creed Shadows a décidément des airs de chemin de croix pour Ubisoft. Jeté aux ordures par la frange des joueurs les plus racistes (rendez-vous compte, un samuraï noir), l'éditeur a aussi multiplié les bourdes bêtes. La sortie en demi-teinte de Star Wars Outlaws a forcé à un report du nouvel épisode d'Assassin's Creed au 14 février prochain, histoire de serrer quelques boulons.

Ubisoft ne s'est pas contenté de repousser le blockbuster de plusieurs mois, ratant au passage les fêtes de fin d'année. L'éditeur a aussi impulsé de gros changements dans ses pratiques commerciales : Steam sera servi « day one », ce qui devrait permettre d'engranger quelques ventes supplémentaires ; surtout, cette restructuration signe le glas du season pass et de l'accès anticipé, une technique indigne pour faire cracher les fans au bassinet.

Pour Shadows, l'early access de 3 jours est donc supprimé et tous ceux qui ont préco recevront à la place la première extension sans frais supplémentaires. Ubisoft a également abaissé le prix de l'édition Collector du jeu : vendu à l'origine 290 €, elle reviendra finalement à… 240 €. OK, ça reste chérot.

Exit l'accès anticipé et le season pass, ce qui est logique et justifie la baisse du tarif. Pour le reste, pas de changement, on aura bien sûr droit au jeu de base accompagné de cosmétiques supplémentaires, ainsi que d'une statuette des deux héros Naoe et Yasuke, d'un steelbook, deux lithographies, la carte du jeu, un art book, ainsi que le tsuba du katana de Naoe en taille réelle (le disque entre la lame et la poignée du sabre).

Si vous aimez (lire du mal de) Ubisoft, restez encore un peu avec nous car ça ne s'arrange pas.

Ubisoft ouvre la boîte à baffes de la semaine

Soyons juste, Ubisoft n'a pas attendu cette semaine pour ouvrir la boîte à baffes, mais ces derniers jours ont bien rougi les joues de l'éditeur. D'abord parce qu'il a confirmé le démantèlement de l'équipe de Montpellier qui a planché sur son seul bon jeu de l'année, Prince of Persia: The Lost Crown. Un crève-cœur alors que le titre a connu un gros succès critique, mais hélas pas public.

Mais la faute à qui ? Comme l'a affirmé Michael Douse, directeur de publication chez Larian, The Last Crown a surtout été victime des pratiques commerciales pourries d'Ubisoft. Limiter la sortie du jeu à la boutique Ubisoft et à l'Epic Games Store, c'était l'envoyer au casse-pipe. La logique aurait voulu que Steam soit servi en même temps que tout le monde, mais fidèle à son ancienne stratégie, l'entreprise a boudé la boutique de Valve jusqu'à la fin août. Trop peu, trop tard…

Si les dirigeants d'Ubisoft ne souffriront pas de la fin prématurée de ce qui s'annonçait comme une nouvelle « branche » de Prince of Persia (un 2e épisode était espéré), pour les développeurs c'est la soupe à la grimace. Une partie a été affectée à Beyond Good & Evil 2, en développement depuis 15 ans (!) et qu'on ne voit toujours pas venir. D'autres vont plancher avec les collègues d'Ubisoft Milan sur un remake de Rayman.

De prime abord, la nouvelle (confirmée là aussi par Ubisoft) est plutôt bonne : Rayman nous manque beaucoup, et le pedigree de ces deux équipes laisse entrevoir le meilleur. Mais l'entreprise n'a rien trouvé de mieux que de sortir Michel Ancel de sa retraite, alors que le créateur du personnage avait lâché le milieu du jeu vidéo en 2020 suite à des accusations de management toxique.

Le revoir en selle, même en tant que consultant « pour s'assurer de la cohérence de l'univers » dans le futur jeu, ne doit ravir personne en interne. Et pour ne rien arranger, le syndicat Solidaires a révélé le retour de Christine Burgess Quémard dans un rôle de directrice exécutive. Elle avait été condamnée pour délit d'initié en 2016, avec à la clé une amende de 200 000 €. Quatre ans plus tard, elle quittait Ubisoft pour raisons personnelles… avant de revenir par la petite porte.

On a presque peur de savoir de quoi sera faite la semaine prochaine pour Ubisoft.


Les sorties de la semaine

— Félix

Et ça fait clic, clic clic pan pan pan

Aussi régulier que les impôts ou le vaccin contre la grippe, un nouveau Call of Duty est sorti en cette fin octobre. Bonne nouvelle, c’est un peu plus enthousiasmant que l’opus de l’année dernière. Black Ops 6 nous invite à chausser les rangers de Case, un agent de la CIA en action pendant la Guerre du Golfe. La campagne est une suite directe à celle du Black Ops Cold War de 2020, et comme d’hab il va s’agir de faire le tour du monde en canardant à tout va. Le titre axe cependant un peu plus sur l’infiltration en proposant différentes manières d’aborder une mission, ce qui sera pas mal pour la rejouabilité.

‘murica fuck yeah !

Le mode solo est visiblement dans le haut du panier (les tests m’ont donné envie d’essayer, c’est dire) et dure environ 8 heures, ce qui est pas mal du tout pour un Call of. Les retours sur le multi sont rares mais celui-ci était plutôt convaincant d’après les retours sur la bêta. Cette année marque également le retour du mode zombie à la Treyarch avec deux maps originales qui devraient ravir les nostalgiques de Kino der Toten. Bref, c’est pas le pire Call of qu’on ait vu et celui-ci a l’avantage d’être dispo gratos dans le Game Pass, alors ça pourra tuer un week-end à pas cher. Les autres pourront raquer 80 balles sur Steam ou consoles (mais pas la Switch, faut pas déconner).

Remake Without a Cause

Il fallait bien qu’il y ait un remake cette semaine, et c’est Sega qui s’y colle avec Sonic X Shadow Generations, une version revue du Sonic Generations de 2011 (360/PS3). Cette nouvelle édition apporte « des graphismes améliorés et des cinématiques retravaillées », ce qui est bien la moindre des choses pour un machin vendu 50 balles. Le plus gros ajout vient d’un nouveau scénario original lié à Shadow, le Sonic d4rk qui évolue dans des niveaux exclusifs plus grands et plus libres.

Le gameplay change étant donné que le hérisson noir et rouge a des pouvoirs spéciaux lui permettant par exemple de voler ou de flotter sur l’eau. Les tests sont mitigés, certains déplorant un remake décevant face à une très bonne aventure originale là où d’autres trouvent la partie exclusive moyenne mais apprécient le dépoussiérage. Écoutez, dans tous les cas il devrait y avoir un morceau que vous aimerez, et c’est déjà pas si mal pour les fans de Sonic qui ont l’habitude d’être déçus. Dispo sur Steam, consoles et Switch.

Na-Na-Na-Na-Na-Na-Na-Na…

La série Batman: Arkham est de retour avec… un nouvel opus en VR. Exclusif au Meta Quest 3 et 3S. Bon c’est pas tous les jours qu’on a un jeu dans la même cour qu’Half-Life Alyx alors on va en parler deux minutes. Le joueur est invité à enfiler le Batslip du Chevalier noir, parti sur les traces du Roi des Rats et de sa secte de fanatiques. On y retrouve les niveaux à la logique metroidvania des précédents épisodes, sauf qu’ici la baston se fait avec à coup de vraies patates dans le vide. Le jeu propose d’utiliser les différents gadgets habituels (Batarang, Bat-Grappin, Bat-Credit Card…) dans une expérience forcément beaucoup plus immersive.

Toi tu vas voir ce que tu vas voir

J’ai pu y jouer une vingtaine de minutes, et c’est de la bonne : c’est un des plus beaux jeux pour Quest, le gameplay est bien foutu et l’intrigue prenante. Les tests décrivent un vrai jeu complet avec son lot de puzzles et de boss qui devrait vous tenir en haleine une dizaine d’heures. Les petits gars de chez Camouflaj se sont fait plaisir en cachant tout un tas d’easter eggs et de références. Bref, un immanquable si vous avec un casque compatible et même si (comme moi) la licence Batman vous laisse de marbre. Comptez 46 € tout de même, sachant que le titre est offert pour l’achat du tout frais Quest 3S.

Sous les projecteurs

C’est la saison des jeux d’horreurs à gros poly. ‌Fear the Spotlight est un nouveau représentant du genre sorti cette semaine dans lequel on suit l’histoire de deux ados s’infiltrant dans leur lycée pour une séance de spiritisme nocturne. L’affaire tourne mal et l’établissement se transforme en musée des horreurs que l’on va devoir parcourir en résolvant des puzzles ici et là. Les tests parlent d’un petit jeu réussi qui arrive à créer une ambiance flippante sans reposer sur des jumpscares en cascade. L’histoire est prenante et plus complexe qu’elle en a l’air tandis que le titre se paye quelques bonnes idées et des références à Silent Hill ou Resident Evil. Si vous n’avez pas fait une overdose ces derniers temps, ça peut valoir le coup d’œil. 20 € sur Steam (où il y a une démo), aussi dispo sur Switch, Xbox Series X/S, Xbox One, PS5 et PS4.

Mais aussi

Évidemment qu’il y a eu un autre jeu d’horreur low-poly cette semaine : While We Wait Here propose de gérer un restaurant le jour de la fin du monde, et il va falloir attendre la mort en papotant avec les clients. Ça a l’air rigolo et ça ne coûte que 5 balles sur Steam, pour occuper 2 h pourquoi pas. La licence No More Room in Hell est de retour avec un second opus visiblement tout pourri au vu des critiques négatives qu’il se tape sur Steam, donc vous pouvez laisser tomber. Les fans de JRPG pourront zieuter du côté de Ys X : Nordics (60 €) ou du remake du jeu de 1993 Romancing SaGa 2: Revenge Of The Seven (60 €), sur lesquels nos lecteurs weebs seront sans doute beaucoup plus calés que moi. Notons enfin que Factorio et Alan Wake 2 ont tous deux eu droit à des DLC qui ont l’air réussis et qui seront un bon prétexte pour y replonger.


On n'a pas eu le temps cette semaine, mais on pense à eux

Metal Slug s'adapte à tout, y compris au genre stratégie isométrique au tour par tour ! Et ça lui va plutôt bien finalement. Teasé depuis des mois, Dotemu a annoncé la date de sortie de Metal Slug Tactics, ce sera pour le 5 novembre sur toutes les plateformes.

Mais où s'arrêtera No Man's Sky ? Impossible à dire, tellement le développeur Hello Games balance de mises à jour et autres « expéditions ». La dernière du genre, « The Cursed », la seizième du genre, permet aux joueurs de combattre dans une sorte de réalité parallèle bourré de créatures effrayantes. Et ça durera deux semaines.

Clair Obscur: Expedition 33, l'intriguant RPG de Sandfall Interactive à sortir l'année prochaine, se déroule dans un univers inspiré par la Belle Époque. Quoi de plus normal que de voir le studio mettre le paquet sur le casting vocal français, qui compte plusieurs grands noms du genre à retrouver dans la bande annonce ci-dessus. Mieux encore, on apprend qu'il sera possible de débloquer un costume très… typique bleu-blanc-rouge.

Dans le reste de l'actu déchaînée

  • Les vieux de la vielle se rappelleront peut-être de Squadron 42, la campagne solo de Star Citizen annoncée… en 2012 ! Et bien le jeu sortira bientôt. Enfin, dans deux ans quoi. Si tout va bien.
  • La Bloober Team qui vient de sortir le remake de Silent Hill 2 et qui prépare Cronos, ne veut plus faire de « jeux pourris ». On vous dit pourquoi ici.
  • Casaniers, fainéants, bons à rien les joueurs français ? Laissez moi rire ! Le baromètre du SELL dit tout le contraire, et c'est à lire dans cette actu.
  • Évidemment, le jeu mystère testé par Nintendo auprès de 10 000 joueurs n'allait pas rester nimbé de secret très longtemps. Les premiers détails sont ici.
  • Mine de rien, ça fait un an qu'Alan Wake 2 est sorti. Pour fêter ça, Remedy propose une grosse mise à jour avec des tas de nouveautés ! Direction cette actu pour tout savoir.
  • Le « vrai » Steam Deck de 2e génération se fait attendre, et Valve prévient qu'on risque de poireauter encore longtemps. C'est à lire par là.
  • Bizarrement, Nintendo se refuse à révéler le nom des studios qui développent ses jeux first party. Mais on sait finalement qui se cache derrière le dernier Mario & Luigi. Et l'heureux gagnant est
  • Allons bon, Netflix en a déjà terminé de ses prétentions AAA, en fermant le studio créé pour l'occasion pour concevoir son premier blockbuster. Dommage, ça se présentait bien.
  • Masahiro Sakurai, le créateur de Smash et de Kirby, a décidément de la ressource. Il a révélé qu'il travaillait depuis deux ans sur un nouveau jeu ! Quelques (maigres) détails à picorer par ici.
  • Nouveau coup dur pour Ubisoft qui a démantelé l'équipe ayant développé l'excellent Prince of Persia: The Lost CrownLes ventes ne seraient pas rendez-vous.
  • Apple aurait en tête de créer un petit frère à l'App Store dédié uniquement aux jeux mobiles. Plus d'infos (et de rumeurs) par ici.
  • L'excellent jeu de construction Factorio cartonne depuis le lancement de son DLC « Space Age », et c'est mérité ! On s'en réjouit par ici.
  • Ne cherchez pas, vous ne pourrez pas refourguer vos vieux jeux Steam sur Leboncoin ! On vous explique pourquoi là.
  • C'est bientôt terminé pour Minecraft VR ! Le studio Mojang va fermer cette version du jeu, qui continuera toutefois d'être jouable sur les écrans bêtement plats. C'est à lire par ici.

osef

Apple TV+ produit une adaptation télé d'Oregon Trail avec des parties chantées façon Barbie.


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Jamie Larson
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